Le quartier de la plaine Monceau est né au Second Empire sous l’impulsion des frères Pereire qui vont faire de ce nouvel arrondissement, un lieu de résidence chic et élégant. Alors en plein essor sous la III ème République, il devient le quartier à la mode où pendant plus de cinquante ans, artistes en vogue et grande bourgeoisie se côtoient. En effet, les artistes officiels et renommés tels Ernest Meissonnier, Puvis de Chavannes, Gervaix ont pour voisins des comédiens et écrivains célèbres tels Sarah Bernhardt ou Alexandre Dumas fils. Ils se font construire des hôtels particuliers au style éclectique, alors à la mode et tout à fait représentatifs des constructions de la fin du XIX ème siècle. Ainsi, ces peintres, auteurs, musiciens, sont de plus en plus nombreux à s’installer dans la Plaine Monceau suscitant une véritable émulation artistique et culturelle. Des fêtes somptueuses
et éclatantes réunissent le tout Paris dans les plus belles demeures telles l’hôtel Gaillard ou l’hôtel Meunier.
De la place du Général Catroux en passant par le parc Monceau et les rues avoisinantes, se déroule une visite au gré de l’architecture des demeures et de la personnalité flamboyante, talentueuse ou scandaleuse de leurs habitants…
Cette balade est la promesse d’une plongée dans le Paris de la fin du XIX ème siècle, largement émaillée d’anecdotes et de petites histoires « croustillantes » ! Voilà une visite dont on retiendra la beauté, la richesse, la diversité des hôtels particuliers et la personnalité de leurs occupants qui ont contribué au rayonnement de la « Ville Lumière ». 
Durée de la visite : 2 heures
Cette visite n’est pas au programme actuellement.
Dès la fin du XIX ème siècle, l’architecture haussmannienne, visant à assurer l’harmonie du paysage urbain, fut jugée trop monotone. Des décrets vont alors être adoptés dès 1893, afin d’assouplir les règles sur les saillies des façades des immeubles. Ainsi vont apparaître les bow-windows qui vont devenir une véritable composante du paysage des villes. Au début du XX ème siècle un champs de liberté encore plus grand est accordé aux architectes avec la possibilité de dépasser le gabarit de leurs immeubles dans les parties hautes. A la même période se développe une industrie florissante proposant l’exploitation des nouveaux matériaux, fonte, fer, béton et briques industrielles dont la cuisson et les vernissages offraient aux bâtisseurs une gamme très riche de coloration. Vont alors s’épanouir un Art Nouveau mais également un éclectisme débridé; néo-baroque ou néo-rococco dont de
beaux exemples vont être dévoilés tout au long de la visite.
Cette visite n’est pas au programme actuellement.
sainte Elisabeth de Hongrie, à des immeubles, bâtiments administratifs, école, lycée, marché (le fameux marché du Temple) et square qui ont remplacé les monuments de l’Enclos du Temple. Se déroulant non loin de la mairie du III ème arrondissement, la visite est riche en enseignement historique et architectural où style » belle époque » côtoie le style « art déco »…la surprise est plusieurs fois au détour d’une rue, avec par exemple un petit marché, un immeuble méconnu d’Hector Guimard, bien loin des réalisations du maitre de l’art nouveau. La visite s’achève avec l’observation du Cirque d’Hiver, inauguré à l’aube du second Empire. Réalisé par le talentueux et méconnu architecte Jacques Ignace Hittorff, le bâtiment devait offrir à l’art équestre un écrin digne de cette discipline alors très à la mode…

propagande.

sauvegardé.

aujourd’hui sauvegardé, restauré et s’offre à nos regards curieux et éblouis…

dévoilés et présentés.

bâtiments établis le long du jardin de l’Observatoire, le jardin du Luxembourg accueille les visiteurs.

regard et témoignent d’un quartier animé et populaire.



